Le maine coon : un doux géant

Le Maine coon

Le Maine coon est une race venue tout droit des États-Unis, apparue à la fin du XIXème siècle dans les premières expositions félines américaines.

Pourquoi « Maine coon » ? La réponse est assez simple : « Maine » du nom de l’état américain où il est né, et « coon« , diminutif de racoon (raton-laveur en langue américaine), du fait de sa queue plus longue que la normale et agrémentée d’anneaux… comme le raton-laveur ! La légende voudrait d’ailleurs qu’il soit issu d’un mariage entre un chat et un raton-laveur, ce qui est génétiquement impossible, bien évidemment !

Sa véritable origine serait plutôt un croisement entre des chats sauvages nord-américains et des chats importés d’Europe à une époque ou une autre (les hypothèses allant des premiers vikings, aux chats angoras de Marie-Antoinette !).

Quoi qu’il en soit, c’est à la base un solide chat de ferme qui fut sélectionné à ses origines pour son gabarit, sa sociabilité et son look peu commun de « petit fauve », la nature ayant fait le reste !

Son look

Sauvage, tel est le maine coon par son apparence extérieure ! Son museau carré, son menton fort, ses grandes oreilles pourvues de lynx tips (plumets de poils à la manière du lynx), son regard de velours, font de ce « doux géant » un sacré charmeur !

Son corps, long et haut sur pattes, est tout en harmonie avec sa queue qui doit pouvoir revenir jusqu’aux épaules (mais qui souvent peut aller jusqu’à la nuque voire les oreilles !).

Agrémenté d’un poil mi-long réparti de manière hétérogène, il montre un gabarit hors norme, souvent plus impressionnant visuellement que sur la balance (son poids est assez souvent usurpé : une femelle pèse en moyenne de 4 à 6 kg, et un mâle de 7 à 9 kg)

Mâle maine coon et chihuahua
Chaton nouveau né
Portrait de Vabodos, male maine coon

Son caractère

Souvent affublé de « chat chien », le maine coon est un chat placide, sachant jouer et se montrer câlin, mais sans toutefois s’avérer « pot de colle » comme peuvent l’être d’autres races (sphynx notamment !) ; il aime garder un minimum d’indépendance mais ne rechigne pas aux parties de caresses et de mamours langoureux !

Si son origine en fait un chat rustique à souhait, il s’adapte sans problème à la vie en appartement, ne grimpant jamais aux rideaux ni aux murs. Il lui faut juste un « arbre à chat » (assez costaud !) qui lui permettra de s’épanouir et d’avoir « son » domaine !

Très sociable, il s’entend à merveilles avec chiens et autres chats, supporte sans soucis les enfants turbulents (jusqu’à une certaine limite quand même !), et peut même apprendre à marcher en laisse !

Une femme avec son chat pour des câlins

Trouvez la bonne assurance pour un maine coon !

Les chats font partie intégrante de notre vie et sont très appréciés pour la compagnie qu’ils nous apportent au quotidien. Il se peut que vous ayez décidé d’adopter un chat de race comme le maine coon qui sont des chats de grande valeur et qui sont de très beaux chats. Il est important de prendre soin de ceux-ci puisqu’il s’agit de chats de grande valeur qui nécessitent un certain entretien au quotidien. De plus, il existe des assurances pour animaux et cela peut être intéressant d’assurer votre chat pour vous assurer qu’il n’y ait pas de problème.

Sachez que pour vous qui prenez soin de votre main coon, des mutuelles spécialisées existent et cela vous permet donc de faire en sorte que les soins pour ces chats si particuliers ne vous coûtent pas trop cher. Veillez donc à trouver une excellente mutuelle pour votre chat afin que celle-ci soit utile. Comme pour toutes les assurances de votre quotidien, il vous faut opter pour le meilleur rapport qualité/prix. Prenez donc le soin de bien vous renseigner à propos des mutuelles qui existent !

Le prix du maine coon

Chez nous, comptez de 1000 à 1400 € pour une femelle, et de 1100 à 1500 € pour un mâle (avec pedigree LOOF et toutes les garanties de santé que nous proposons) ; les chatons sont tous négatifs au test ADN HCM1, et les parents sont suivis par échographie cardiaque à l’ENV Maisons-Alfort.

Vabodos, en studio avec un chihuahua